Les Aventures De Dje Ep 76 : Pas De Fac Pour Luc
LES AVENTURES DE DJE
Ep 76 : PAS DE FAC POUR LUC
On avait choisi de ne passer au Château que les derniers jours de nos vacances mais comme c'était calme à ce moment de l'année, on nous avait donné des chambres individuelles, sauf pour Bob et Luc bien sûr qui avaient un grand lit !
Pendant toute la soirée on se racontait nos vacances. Bob avait beaucoup de chose à dire, lui il vivait une nouvelle expérience, il l'avait accepté mais c'était tout de même une situation nouvelle pour lui, et elle devrait durer toute sa première année de fac.
Les quelques jours que nous passion sur place passaient si vite qu'à peine arrivés, nous préparions déjà nos bagages pour le retour. On restait sage, chastes. Luc et Bob étaient très câlins, il ne se pelotaient pas, ils ne passaient pas non plus leur temps à s'embrasser mais on sentait une grande douceur entre eux, une grande tendresse dans les gestes que chacun faisait à l'encontre de l'autre et il n'était pas rare qu'ils se tiennent la main quand ils marchaient dans les allées du parc.
Ce n'était pas la première fois que Bob venait au Château mais contrairement à nous trois ce n'était pas non plus un habitué. Luc s'était tout de suite senti chez lui mais ça c'est normal avec mon petit frère, si c'est confortable et qu'on y mange bien il se sent toujours comme chez lui celui là !
On avait largement pris le temps de se raconter nos vacances, on avait bien sûr été reçu par Mr Le Conte. Pour une fois mon petit frère ne semblait pas satisfait de la discussion privée qu'il avait eu avec lui.
Moi : On dirait que quelque chose te contrarie mon petit bonhomme ?
Luc : C'est la fac, il m'y refuse
Et même Mr Le Conte ne peut rien y faire !
Luc : Chui dégoûté !
Mais : Mais il me semble que tu ne devait entrer en fac que l'année prochaine. Tu as un an d'écart avec Bob, il est dans les temps, il y rentre cette année toi c'est l'année prochaine.
Luc : J'ai bossé comme un dingue pour sauter une classe. J'espérais pouvoir entrer en fac dès cette année. Mes résultats m'y autorisent mais
Je suis trop jeune ils disent.
Moi : Mais ce n'est pas dramatique, tu es loin d'être en retard.
Luc : Oui mais je pouvais être en avance, et en plus j'aurais été avec Bob
Pfff !
Moi : Tu vas voir ça passera vite et Bob, il sera toujours avec toi, je te rappelle qu'il habite à la maison. Il a le privilège d'être un des étudiants externes.
Luc : Tu vas voir ! J'ai pas dit mon dernier mot !
Moi : Luc à quoi tu penses ?
Luc : Tu verras !
Le moins qu'on puisse dire c'est que mon petit frère est du genre décidé, je l'ai toujours vu moins mature, plus tête en l'air, plus superficiel
Il me faisait presque peur là ! Il avait pris en maturité ou bien ?
Juste avant notre départ je demandais à voir Mr Le Conte.
MLC : Vous vouliez me voir Jérémy ?
Moi : Oui Mr Le Conte, j'ai parlé avec mon frère, il semble affecté de ne pas pouvoir entrer en fac cette année.
MLC : Il est venu me voir pour ça en effet. Je ne peux pas autoriser de dérogation sur ce point. Il m'a dit qu'il chercherait une autre possibilité, je n'ai pas vraiment compris ce qu'il entendait par là.
Moi : Il n'a pas le niveau pour y entrer ?
MLC : Il doit encore passer un examen, s'il le réussi il aura prouvé que le niveau il l'a. Si on se fie à ses résultats pendant l'année cet examen n'est qu'un formalité
C'est uniquement une question d'âge. J'ai tout le corps enseignant sur le dos là. Ils sont tous formellement contre et je ne vois pas vraiment comment je pourrais passer outre sans faire preuve d'autoritarisme, ce ne serait pas compris.
Moi : Ouai je vois !
MLC : Mais soyez gentil de garder un il sur lui, et surtout n'hésitez pas à me déranger s'il y a besoin. Je vous laisse juge !
Ça m'inquiétait un peu cette affaire, mon petit frère n'est pas du genre à renoncer facilement et je me demandais ce qu'il allait encore inventer.
De retour à la maison c'est Bob qui venait me voir. Luc n'avait pas desserré les dents de tout le trajet
Pire !
Bob : Mais tu t'imagines Djé ? Il s'est arrêté dans un routier ! On a mangé dans un restaurant pour routier !
Moi : La vache ! Là il y a quelque chose de grave !
Bob : Là ça minquiète ! C'est pas du tout son genre.
Moi : Et tu as fait quoi ?
Bob : J'ai rien dit, j'avais la trouille ! Il n'avait pas l'impression de réagir ! Ceci dit on a très bien mangé !
Moi : Bon la situation est sérieuse, ça ne veut pas dire que c'est grave ! On va en parler à Antoine et à Charles, il faut le garder à lil.
Bob : J'espère que ce n'est pas une dépression nerveuse !
Moi : Pas de panique Bob, on garde un il sur lui et on se tient au courant !
On profitait de l'absence de Luc pour faire une réunion d'urgence, et on prenait les mesures, on le tiendrait à lil. Si nécessaire on pouvait contacter Mr Le Conte.
Luc continuait à faire la gueule pendant encore quelques jours. Bob me racontait que même quand ils se retrouvaient ensemble, Luc gardait cet air contrarié, inquiet
Quelques jours plus tard Luc passait son examen et le réussissait haut la main. Techniquement il pouvait entrer en fac. Il était simplement trop jeune ! Un an trop jeune !
Le soir ou il recevait les résultats de son examen.
Luc : Un an trop jeune ! Je suis d'un an trop jeune ! Mais c'est rien ça un an ! Ils se moquent de moi ! J'ai largement la maturité !
Pffff
Luc : C'est décidé ! J'arrête mes études !
On sursautait tous !
Moi : Mais tu ne les as même pas encore commencées !
Luc : M'en fou ! J'arrête mes études !
Bob : Mais enfin Luc
Luc : J'arrête mes études !
Bob me regardais, je haussais les épaules.
Moi : Il est reçu en fac, il pourra toujours y entrer l'année prochaine !
Luc : Dans un an, c'est une idée ça, ils me diront peut être que je suis trop vieux !
Bien sûr j'avertissais Mr Le Conte.
La vie reprenait son cour habituel. Tous les matins, sport comme d'habitude, petit déjeuner que Charles nous préparait avec le sourire, il gardait un il sur Luc tout particulièrement, puis on partait à la fac. On ne prenait qu'une voiture, Luc utilisait la sienne. Au début on ne savait pas ce qu'il faisait. Charles enquêtait et rapidement reconstituait l'emploie du temps de mon frère
En début d'année, il y a toujours quelques étudiants qui arrivent un peu en retard. Bernard était un garçon avec un physique flatteur, en fait ce n'est pas lui qui était en retard, une place venait de se libérer en première année, et il était sur la liste d'attente. Il arrivait le jour même, avait rendez-vous avec le bureau des inscriptions une heure plus tard, pour passer le temps, il était passé à la piscine et maintenant il se douchait, il se croyait seul.
Je ne sais pas ce que vous en pensez mais les douches sont toujours une endroit chaud
Très chaud
On s'y retrouve tous à poil et on se voit donc tous les jours. Bon on est sage, on n'a pas le choix. Mais ça reste chaud, les cages de chasteté se redressent, les corps se frôlent, et souvent les contact tactiles sont plus clairs, plus directs. Il n'est pas rare que l'un frotte le dos de son camarade. Bon quand on est en groupe on ne va pas plus loin. On ne frotte pas les fesses des ses camarades et encore moins ses couilles. Mais il arrive quelquefois qu'on se retrouve seul sous les douches.
Il se croyait seul le petit nouveau. Je me croyais seul aussi dans les vestiaires quand j'entendais l'eau couler. J'entrais dans la salle des douches communes et je le voyais. Au début je n'y prêtais pas attention, un garçon à poil qui prend sa douche dans un local réservé à cet effet
J'en voix des dizaines par jour et je n'y fais plus attention.
De dos je ne le reconnaissais pas, belles épaules bien larges, cheveux châtain clair, jambes bien musclées. Sa silhouette était trapue et mince, je sais c'est un peu contradictoire mais il semblait mince parce que grand, trapu parce que large et fort.
J'aime bien ce genre de silhouette large, qui dégage de la force et qui malgré tout semble mince parce que de grande taille. En plus il avait des fesses magnifique, je tombais sous le charme mais continuait à me demander qui c'était. Il se lavait avec vigueur, son bras bougeait rapidement d'un mouvement répétitif et rapide.
Il est tout de même pas en train de se branler ! ?
Il se caressait le torse, puis reprenait ses mouvements rapides. Il penchait la tête en arrière, se tournait légèrement, je voyais l'eau tomber sur son visage, je le voyais de profil. Il était bien en train de se branler, de profil c'était parfaitement clair. Il en avait une belle. C'est rare de voir quelqu'un bander dans cet endroit, ça n'a pas du arriver depuis un long moment. Il avait une belle grosse bite qui se relevait fièrement devant lui.
En temps normal ici ce sont les cages de chasteté qui se relèvent, et pas toujours fièrement
Là c'était une belle grosse queue, et son porteur était tout pareil, enfin beau pas gros
Il ne m'avait pas vu, j'étais à poil, je lui faisais face mais de toutes évidences il fermait les yeux. Bein oui à poil ! Vous vous douchez tout habillé vous ?
Je contemplais un moment le spectacle et ma cage de chasteté se relevait rapidement, avec force. À l'intérieur il y avait de la pression je ne vous dis pas
Oh et puis si je vous le dis ! C'était de la folie, j'ai souvent des montée de pression mais des comme celle là c'est assez rare.
La chaleur de la douche, le fait que je n'ai pas baisé depuis mon retour de vacances et puis
Ce spectacle, il était beau comme un dieu ce mec, un nouveau avec un cul superbe, ça fait bander ça ! Un nouveau qui n'a pas encore été mis en cage, c'est tentant ça ! Et en plus un nouveau qui est très beau, qui a une grosse bite, qui bande et qui se branle alors que moi
J'avais la langue qui traînait par terre
( je rassure les plus crédules c'est une façon de parler )
et je bavais en même temps. Au moment ou il m'apercevait il poussait un cri, sursautait et l'air penaud tentait maladroitement de cacher son sexe.
Bernard : Euh ! Je suis désolé
Moi : Moi pas !
Bernard : Excusez moi je croyais que j'étais seul.
Moi : Mais nous sommes seuls !
Bernard : Je suis nouveau, Bernard, un place s'est libéré
et
Moi : Et tu n'est pas encore passé au bureau des inscriptions ?
Bernard : Euh
Bein
Non
Moi : Et tu en profites ?
Bernard : Bein
Je suis désolé
Mais
Je m'approchais de lui, il me regardait il semblait tétanisé.
Je m'arrêtais à vingt centimètres de lui, levait la tête pour le regarder dans les yeux, il faisait une bonne tête de plus que moi ! Je luis caressais le torse avec le dos de la main, il gardait ses mains sur son sexe mais sa bite dépassait. De près elle paraissait encore plus grosse. Ma taille préférée
très grosse
Puis il se détendait.
Moi : Tu as raison, il faut en profiter. Dans une heure ta queue sera sous clé, tu ne pourras plus te branler pendant les dix prochains mois. Tu ne pourras plus non plus faire ça
Je me mettais à genoux et commençais à le sucer. Il se laissais faire, les deux bras tombaient comme s'il ne savait pas quoi faire de ses mains. Ça ne durait pas très vite je le sentait me prendre la tête à deux mains, il me caressait les cheveux, il me caressait les joues, je le suçais avec plaisir. Rapidement j'avalais sa queue sur toute sa longueur, je sentais une réaction de sa part, il ne devait pas être habitué à se faire sucer comme ça !
Il faut dire qu'il en a vraiment une belle et pour se la prendre dans la gorge comme je le faisais il fallait avoir de l'entraînement. Et j'en ai ! Il se laissait faire, je sentais son gland me caresser la glotte et s'enfoncer encore plus loin. Je synchronisait bien ma respiration, j'avançais et retirais ma tête.
Un instant je faisais une pause et je relevais la tête. Il me regardait.
Bernard : Je vais te prendre.
Je me relevais alors sans faire de manières, me retournais, j'écartais les cuisses et me penchais en avant. Il me lubrifiait alors abondamment le cul avec du savon, se lubrifiait aussi la queue, me la posait bien en position sur mon anus et poussait en avant.
J'ai failli tomber en avant mais il me retenait.
Bernard : C'est génial ça. Tu sais c'est la première fois que je fais ça moi !
Moi : Vas y ! Défonce moi le cul ! Profite en mon gars dans moins d'une heure
Il se lâchait alors avec violence, me balançait des coups de reins aussi violent que rapides avec des mouvement amples. Régulièrement il se retirait complètement, me glissait au moins deux doigts dans le cul, me lubrifiait encore un peu et revenait d'un mouvement écrasait son ventre contre mon cul. Il aimait que ça s'entende, et ne se privait pas de faire claquer son ventre au moment ou il touchait mes fesses.
J'aime bien me faire défoncer le cul. Vous vous en doutiez un peu non ? Et j'aime bien aussi qu'on me prenne avec force et là j'étais gâté. L'heure tournait il se donnait à font, j'en prenait plein le cul.
Moi : Vas y doucement tout de même ! Là tu me fais mal !
Il ne s'occupait pas de ce que je disais. Il accélérait même le mouvement. C'était à la fois un mouvement ample, rapide et violent. Il me tirais vers lui de toutes ses forces. J'étais plié en deux, j'avais posé mes mains sur le sol pour ne pas tomber, il me tenait fermement par les hanches, me repoussait quand il se retirait et me tirait vers lui sans tendresse.
Bernard : Ça vient, je sens que ça vient ! Il faut pas que je sois en retard et je ne vais pas louper cette dernière occasion. Je
Ouai . Ça vient !
Il poussait alors un cri, me tirait contre lui et appuyait son bassin de toutes ses forces contre mes fesses. Il jouissait dans mon cul, la pression dans ma cage avait baissée. Il ne bougeais plus pendant un petit moment, il reprenait son souffle puis se retirait.
Au moment ou sa queue se retirait de mon cul, un long filet de sperme coulait de ma cage autant que de mon cul. Il n'y prêtait pas attention terminait de se laver rapidement, se séchait, et sortait de la douche en me saluant.
Bernard : Ravi de t'avoir rencontré, ça fait du bien mais il faut que je te laisse. Moi c'est Bernard et toi ?
Moi : Jérémy mais tout le monde m'appelle Djé.
Il tournait la tête vers moi !
Bernard : Djé ? Non ! C'est toi Djé ?
Je rigolais.
Bernard : On a le droit de faire ça ?
Moi : Uniquement si on ne se fait pas prendre ! Ne traîne pas on t'attend aux inscriptions
Bernard : Ouai je sais ! J'ai signé pour dix mois et j'ai un peu les boules !
Moi : Ça va bien se passer, tu verras !
Il partait vite remplis la dernière formalité pour son inscription. Je terminais ma douche, j'avais un peu mal au cul moi. Peut être qu'il n'avait pas l'habitude de ce genre de plaisir mais il savait utiliser sa queue, on la sentait passer. Par certains côté il me faisait penser à Bob. Je ne sais pas pourquoi, Bob était plus petit, moins large et un peu moins bien monté
En fait ils ne se ressemblaient pas du tout et je ne sais pas pourquoi il me faisait penser à Bob. Mais c'est à Bob que je pensais à l'instant ou Bernard quittait les douches.
Un peu plus tard je sortais à mon tour du bâtiment, j'apercevais la silhouette de mon frère qui sortait de la fac, il avait un sac à dos léger sur l'épaule. Mais enfin il n'est pas admis à la fac, qu'est-ce qui fait ici. Il ne devrait pas être à la télé à l'heure qu'il est lui ? Il ne traînait pas, on avait l'impression qu'il était en retard, il montait dans sa voiture et démarrait rapidement. Il semblait se diriger vers la zone nord de la ville, c'est là que sont les studios de la télé. Il a son direct tout à l'heure !
Il ne m'avait pas vu, j'arrivais à ma voiture et j'entendais une voix qui m'appelait. Je me retournais c'était Charles.
Moi : Mais qu'est-ce-que tu fais ici toi ?
Charles : J'ai suivi Luc !
Moi : Alors
Charles : Je ne sais pas ce qu'il a encore inventé. Ce matin, il est passé aux studios télé, puis il a passé le reste de la matinée au centre médiatique, il a fait quelques déplacements mais on ne sais pas ou exactement, il a été vu au journal local
A midi il à dîné à la maison, vous manger à la cantine tous mais lui il n'est plus ni scolaire ni étudiant donc il mange à la maison
Moi : Il a dit quelque chose ?
Charles : Tu t'imagines bien que j'ai essayé de le faire parler mais
Rien !
Moi : Rien !
Charles : Il a retrouvé le sourire, il avait l'air de bonne humeur mais il ne m'a rien dit !
Moi : Mais rassure mois, tu n'as pas passé la journée à prendre Luc en filature.
Charles : Non, j'ai passé le mot à toutes les personnes que je connais, si on le voit quelque part on me le dit
Moi : Il ne faut surtout pas qu'il sache qu'on le surveille, avec lui on ne sait jamais, il pourrait le prendre mal. Mais bon si il était de bonne humeur c'est déjà bon signe
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!